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La Place de l’Etoile, Paris…
L’accordéon chantait tout proche,
On entendait sonner les cloches
Et, peu à peu, baissait la nuit.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
La Place de l’Etoile, Paris…
L’accordéon chantait tout proche,
On entendait sonner les cloches
Et, peu à peu, baissait la nuit.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Je veux me faire une robe avec des fleurs des champs printanières,
Si discrètes, si tendres et modestes, elles n’ont pas leurs pareilles.
Je les aime, mais pas plus que les autres fleurs de la terre,
Simplement, au printemps, grâce à elles l’espoir se réveille.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Je traîne ma vie, comme le chien de Pavlov,
Aux réflexes acquis obéissante,
Et ma fidélité, qui est à toute épreuve,
Les gâte, mais j’en suis dépendante.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Je crois à la bonté et à la Providence,
À la patrie, à la chance, à l’amour.
Les différents chemins de l’existence
Nous mènent tous au terrestre séjour.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Ami de la tranquillité,
Témoin de destinées suprêmes,
L’heure est venue de la trouver,
La cime digne de toi-même.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Tout m’est trop étranger: maisons, rues, squares,
Même cette nuit empreinte de quiétude…
Et mes yeux cherchent en vain, chose bizarre,
Mes vieux amis, mais c’est par habitude.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Le temps se met à la pluie,
Le coucher se fond dans la nuit,
L’écouteur se tait, poli,
Moi, j’attends la voix chérie.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Parmi d’autres paperasses
Au fond de mon bureau
Me voilà face à face
Avec une photo.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Chantons, assis en cercle, l’air populaire
Sur le postillon mort dans la plaine,
Par ce chant plaintif même l’âme étrangère
S’emplira de tendresse sereineЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Le bruit du train s’est tu, la gare est vide,
L’adieu ne sonne plus à mes oreilles.
Et à quoi bon? Les mots, c’est insipide,
Mais on promet souvent monts et merveilles.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ