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Le chêne séculaire tient la terre
Et réflechit sur le sens de la vie.
À l’ombre de ses feuilles la vipère
Paresse, loin du soleil de midi.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Le chêne séculaire tient la terre
Et réflechit sur le sens de la vie.
À l’ombre de ses feuilles la vipère
Paresse, loin du soleil de midi.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Je me fonds dans la foule avec joie,
Il me plaît d’observer son état d’esprit,
Alors que la tristesse me donne froid,
Il me faut ne serait-ce qu’un instant d’oubli.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Tiens, la pluie mesure notre terre
Pas à pas, pieds nus, toute mouillée,
Parcourant, libre et à la légère,
Même les coins les plus reculés.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Les jours des amoureux sont courts,
Mais pleins d’excitations profondes,
Un jour de larmes, un jour d’amour
Sont accordés à tout le monde.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Salut, printemps, salut!
La peau jouit du soleil toujours modeste,
Et les oiseaux, pareils au choeur céleste,
Gazouillent éperdument haut dans la nue.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Comment survivre à la tempete
Dans ma conscience?
Tout ce qui m’est cher, je le rejette
Avec violence.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Je pouvais reconnaître sous tout masque
Au plus épais de chaque bal masqué
Mon amour revêtu d’habits fantasques,
Toi seule étais toujours dans mes pensées.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Le vent
Tape dans mes volets.
J’ai peur!
Ce rêve est trop mauvais.
J’entends:
“Tiens le coup dans la vie!”
Sa voix
Est mon cauchemar de nuit.
Enfin,
L’aube arrive au petit pas.
Tout dort,
Mais la paix ne vient pas.
Lourd de pensées sur le vieillissement
Parmi la foule pressée,
Le coeur se serrait d’apitoiement,
De peur, de nécessité.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ
Dans la vallée où naît la Seine
Montait le soleil sans hâte.
La terre, retenant son haleine,
Guettait sa lumière écarlate.ЧИТАТЬ ПОЛНОСТЬЮ