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Je veux me faire une robe avec des fleurs des champs printanières,
Si discrètes, si tendres et modestes, elles n’ont pas leurs pareilles.
Je les aime, mais pas plus que les autres fleurs de la terre,
Simplement, au printemps, grâce à elles l’espoir se réveille.

À la fin de l’hiver, j’éprouve une envie désespérée
De renaître, d’attendre le chaud et la jeune verdure,
Je voudrais répéter chaque instant de passion et rêver,
Alors que, hâtivement, les années passent d’une allure sûre.

Les feuillages émeraude et le bleu du ciel charment les yeux,
Ma tenue de printemps va si bien à ces rues grises et sombres…
Et la ville pressent, déjà, le renouveau lumineux.
J’aime tant le printemps! Et bien sûr que j’en souhaite sans nombre.

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