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Tout m’est trop étranger: maisons, rues, squares,
Même cette nuit empreinte de quiétude…
Et mes yeux cherchent en vain, chose bizarre,
Mes vieux amis, mais c’est par habitude.

Je ne verrai pas mes amies lointaines,
Ni ne leur demanderai de leurs nouvelles.
Ici, je vis toute seule, avec moi-même,
Sans faire de visites habituelles.

Plus de regards, plus de sourires aimables,
Dans la cuisine, plus de confidences.
Ici, tous mes désirs sont trop instables,
Le jour finit, demain ça recommence.

Tout m’est trop étranger: maisons, rues, squares,
Et la grisaille ici a l’air plus grise.
Ça fait tellement longtemps que j’en ai marre!
Je serai fichue sans qu’on le réalise.

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